Faculté des Arts en Lorraine

Petit rappel :

Nous n'avons pas cours la semaine prochaine.

Par contre, Jeudi 20 novembre 2014, vous aurez un devoir sur table (dissertation) de 8h à 13h. Nous nous retrouverons dans l'atelier 4.

Nous débuterons un session du passage à l'oral dès la semaine suivante : le Jeudi 27 novembre en atelier 2.

Le document que je vous avais compris hier se trouve ci-dessous (cliquez sur l'hyperlien) :him stylistique et méthodologie de la dissertation

Signalez-moi tout problème de téléchargement.

Bibliographie sur l'estampe :

biblio_estampe

Réflexion sur l'idée de reproduction dans l'estampe et la photographie au XIXème siècle

Erika_Wicky_Les___degre_s_d_art__

http://etudesphotographiques.revues.org/241

Textes sur l'art en espace public :

Ardenne_art_public_2011

http://www.espacestemps.net/articles/lrsquoart-public-dans-la-ville/

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/054000281/index.shtml

http://www.millenaire3.com/fileadmin/user_upload/syntheses/art_dans_espace_public.pdf

Moteur de recherche pour les articles scientifiques :

www.revues.org

www.cairn.info

www.erudit.org

www.persee.fr

www.doaj.org

Sylvie Antoine
49°36'08.43"N
154°24'45.20"O

Exposition du 2 octobre au 25 octobre 2014
Vernissage jeudi 2 octobre à 18h00
Ouvert : jeu |ven | sam | de 15h à 19h et sur rdv

« L’art soumet l’artiste à la vérité la plus humble et la plus universelle ! » disait Camus. C’est au premier regard ce que déploie l’installation de Sylvie Antoine, de la banalité la plus ordinaire de nos emballages-déchets à la plus globale catastrophe écologique que laisse présager leur dispersion incontrôlée à travers la planète.

L’artiste renoue ici avec un de ses sujets privilégiés : la nature morte. La présentation sur tréteaux est en lien iconographique direct avec les grands étals galetteux des stillevens de Pieter Aertsen (1508-1575). Filiation symbolique aussi puisqu’est suggérée ici aussi la précarité des choses, fragilité de la Nature mise en danger par la cupidité des hommes. La durabilité (date de péremption) fugitive des nourritures terrestres autrefois signifiées dans les Vanités par la présence d’insectes nécrophages ou de fruits talés, est ici suggérée par cette multitude d’emballages à usage unique, dont les contre-empreintes sont les fossiles inertes de repas à obsolescence programmée. Groupés, ils évoquent l’immense vortex de déchets plastiques qui tournoie dans les eaux du Pacifique et que les écologues ont nommé « Septième continent ».

Mais la plasticienne d’école formaliste ne tombe jamais dans un discours anecdotique qui pourrait éclipser le rigorisme volontaire qui sous-tend et structure l’ensemble de ses compositions. Hier, par exemple, en contre-pied aux peaux d’oranges, chefs-d’œuvre dérisoires et émouvants cités par Louise Bourgeois, apologues sensibles et bavards d’une jeunesse douloureuse, elle proposait des suites silencieuses et abstraites de « Peaux de clémentines », dont la beauté des formes uniques et improbables n’était le fruit que du pur hasard de l’action de peler. Cette passion pour « l’enveloppe » réalité visible et variable de l’objet, la lecture en série où chaque œuvre conditionne et présuppose les autres, ne sont pas sans liens avec les innovations esthétiques des « Meules » de Claude Monet (1840-1926).
Dans cette installation, la fascination pour l’infinie variété de formes rigoureuses de ces peaux industrielles, n’est pas absente de leur choix comme médium. Aucune préoccupation esthétique ou symbolique ne vient compromettre les deux compositions aléatoires sinon que, uniformisées sous forme de moulages de plâtre peints en blanc, sont évoquées les singularités et les pluralités de notre humanité.
Packagings dénués de la moindre pensée esthétique, ils n’ont comme seule fonction que celle de protéger et leurs structures ont été uniquement prévues pour résister à des sollicitations présupposées. Pour l’artiste, ils sont les contre-empreintes de nos fragilités hypothétiques, dans un monde sur et pré sécurisé, les sarcophages jetables de notre liberté.

Bernard Ponton, septembre 2014



Avec le soutien de la DRAC Lorraine, du Conseil Régional de la Lorraine,

du Conseil Général de la Moselle, de la Ville de Metz. Membre du Réseau Lora.

Octave Cowbell
5 rue des Parmentiers
F-57000 Metz
info@octavecowbell.fr
www.octavecowbell.fr
33(0)661 622 779

Niki de Saint Phalle (1930-2002) est l’une des artistes les plus populaires du milieu du XXe siècle, à la fois plasticienne, peintre, sculptrice et réalisatrice de films. Si elle est surtout connue du grand public pour ses célèbres « Nanas », son oeuvre s’impose aussi par son engagement politique et féministe et par sa radicalité. Le Grand Palais propose la plus grande exposition consacrée à l’artiste depuis vingt ans et un nouveau regard porté sur son travail.

Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais (Paris)

Plus d'info : http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/niki-de-saint-phalle

Etudiants de l’Université de Lorraine,

Participez au festival international d’art vidéo WWFF sur le thème « surimpressions numériques ». Utilisez votre talent pour réaliser une vidéo artistique sans mots avec des incrustations, transparences, ou toute autre technique répondant au thème de cette année. Les vidéos sélectionnées seront projetées sur grand écran dans une salle dans Metz, à la fin du mois de novembre, en avant-première de la sélection internationale. Un prix honorifique sera décerné à la vidéo qui aura  le plus séduit le jury.

Vos vidéos devront être adressées à withoutwords@free.fr de préférence par lien vimeo ou youtube, avant le 3 novembre 2014.

Site internet du festival : http://withoutwords.free.fr/

Contact : withoutwords@free.fr

Cours délocalisé du département « Arts »
Université de Lorraine

Ouvert à tous

1er RDV le 24 septembre 2014 à 15h30-17h30

Salon de Guise
TOUT-PARIS A L'EPOQUE DES BALLETS RUSSES

Subjuguant le Tout-Paris de la Belle Epoque, la compagnie de Serge Diaghilev propose deux visages : Michel Fokine rencontre la culture ambiante en virevoltant sur la tradition, quand Vaslav Nijinski, dansant aux avant-gardes, bouleverse l'ordre du goût. Au mépris des usages, son « faune » notamment va opérer des déconstructions proches du cubisme dans lesquelles le Tout-Paris aura du mal à se retrouver !

Roland Huesca

Documents de travail

Exercice_1_hybrider_une_poupe_e_et_un_be_be_

exercice_gorgone